Les titres boursiers qui ont retenu l'attention cette semaine

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Amorcer le dialogue sur les risques des chaleurs extrêmes

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Revue de presse

Alors que le numérique permet d’économiser certaines matières premières, il est également synonyme de pollution, souligne l’émission Le meilleur des mondes, sur les ondes de France Culture. L’épisode destiné à la démarche slow tech aborde diverses initiatives de sobriété numérique pour amoindrir les conséquences environnementales engendrées par nos sociétés ultraconnectées.  

«Je vivais seule dans une chambre louée à Porto lorsque le COVID a frappé, et j’ai compris que ma qualité de vie serait infiniment meilleure à la campagne, avec ma famille», partage Andreia Proença au Financial Times. L’ingénieure industrielle de 27 ans n’est pas la seule Portugaise à avoir quitté la ville pour s’installer en milieu rural. Cette initiative est d’ailleurs encouragée par le gouvernement qui offre des subventions pour encourager les travailleuses et les travailleurs à s’installer en dehors des grands centres.  

En réponse à la pénurie de main-d’œuvre qui sévit dans divers domaines aux États-Unis, des établissements scolaires et des employeurs revoient leurs critères d’admission. Cette tendance, mise de l’avant par Bloomberg, permet en partie de contrer l’exclusion raciale souvent occasionnée par le credentialism, soit cette multiplication d’examens et de diplômes nécessaires pour l’obtention d’un poste. 

Vous arrive-t-il d’oublier le nom d’une et d’un collègue, alors que vous êtes pourtant habitué à lui parler régulièrement? Ces pertes de mémoire temporaires seraient de plus en plus fréquentes, rapporte le Wall Street Journal. Le retour au bureau et l’adaptation à une nouvelle routine de travail — qui consume beaucoup d’énergie, souvent sans qu’on s’en rende compte — seraient en partie responsables de ces oublis, selon des neuroscientifiques. 

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